Hello, un peu de soleil avant que le printemps n’arrive et que l’hiver sans neige, mais tout gris face enfin place à la lumière.
Je rêve de ces îles à mi chemin entre l’Australie et l’Amérique du Sud, aux confins du pacifique sud : les îles de la Société avec Tahiti. « ‘IA ORA NA », « MAEVA » et « MANAVA », voici les trois mots avec lesquels les Polynésiens accueillent les visiteurs et leurs invités.
En fait j’ai déjà mon programme.
Aller surfer à Tahiti, plonger à Moorea, faire le tour de l’île de Huahine en pirogue avec pause snorkelling et pique nique sur un îlot.
Faire un tour à Raiatea qui est le centre culturel et religieux de l’archipel.
M’isoler de tout à Tahaa où l’on ne peut aller qu’en bateau, histoire de faire un tour des baies et voir la barrière de corail et puis y goûter sa vanille très renommée.
Ensuite j’irai à Maupiti, comme un bout du monde pour faire du vélo car il n’y a pas de voiture et c’est moins bling bling que bora bora sa voisine.
Oh je me laisserai aussi tenter par Bora bora quand même pour frimer un peu 😉 mais plus pour faire de la randonnée que me pavaner dans les hôtels de luxe. Et enfin j’irai m’échouer à Tetiaroa cet atoll fabuleux. Entre cocotiers et anneau corallien à fleur d’eau.
Et bien sûr j’adorerai prendre des cours de danse polynésienne mais en attendant que ce rêve me soit accessible, j’irai faire un tour à l’association de danse tahitienne de Metz, c’est moins exotique mais ça fait voyager tout de même et j’apprends les bases de la danse.
Je n’y suis jamais allée alors les photos viennent du site https://tahititourisme.fr/
Le drapeau
Le drapeau de la Polynésie française a été officiellement adopté le . Il est composé de trois bandes horizontales, respectivement rouge, blanche et rouge, la bande centrale étant deux fois plus large que les deux bandes externes et ornée de l’emblème de la Polynésie française.
Le drapeau se veut symbole de liberté, de reconnaissance et de ralliement pour les Polynésiennes et les Polynésiens. En vertu de la loi organique sur le statut de la Polynésie française, il fait partie des « signes distinctifs permettant de marquer [la] personnalité » du pays (fenua) « dans les manifestations publiques officielles aux côtés de l’emblème national et des signes de la République ».