Quand on est arrivé à Chypre, à Larnaca on n’a pas eu le temps de découvrir la ville. On est arrivé le soir, épuisés et le lendemain matin on devait courir récupérer le tandem. Mauvaise histoire, on oublie.
Du coup, de retour à Larcana avec quelques jours devant nous, nous partons à sa découverte.
Les plages
Elles sont superbes c’est sûr, mais comme ce n’est pas notre truc de rester au soleil à ne rien faire… on en profiter trentre minutes et basta. Finikoudes beach est vraiment canon avec un beau sable doré et une eau bien claire.
Ce qui est agréable c’est surtout la promenade qui est bordée de palmiers. Entre les nombreux cafés et restaurants, on ne peut que profiter des vues superbes sur la mer.
On a pu découvrir le lac salé de Larnaca mais il n’y avait pas de flamants roses. Ils viennent s’y installer en hiver. En 1997, il fut déclaré aire protégée en vertu de la loi chypriote pour la Protection et l’Aménagement de la nature et de la vie sauvage, ainsi qu’en vertu de la directive européenne habitat “faune, flore”. C’est un site Ramsar et Natura 2000 de grand intérêt et l’un des biotopes les plus significatifs d’Europe, ainsi que l’un de ses plus importants habitats.
Patrimoine
Déjà, l’église de Saint-Lazare, construite au 9ème siècle dont l’architecture byzantine est magnifique. On y retrouve des icônes religieuses superbes également.
Le musée Pierides avec une importante collection d’artefacts chypriotes qui retracent l’histoire de l’île depuis l’âge de bronze jusqu’à nos jours.
Le fort de Larnaca. Construit au 12ème siècle, il offre une vue panoramique sur la ville et la mer, c’est vraiment canon.
La vieille ville est très agréables avec un dédale de ruelles étroites et plein de jolies boutiques artisanales pour moi et des cafés locaux pour Anthony. Chacun sa passion !
Voilà, le séjour à Chypre est terminé, on a fait un bon tour mais surtout nous nous sommes reposés.
Je suis assez partagé et pour l’instant je dirai plutôt que je n’ai pas aimé Chypre. Trop de touristes, trop de dénaturation des lieux. Pas assez de nature pour moi, mais c’est parce qu’on a fait le tour en bus et que d’ordinaire avec mon vélo, je me perds dans les coins reculés et je rencontre les locaux.
J’ai eu trop chaud alors qu’on était en octobre et la chaleur pour moi c’est très difficile à gérer.
Bref, Chypre à refaire à vélo serait une bonne conclusion pour toujours garder le positif d’une belle découverte.
En plus, ce n’est pas loin !
