Ohlala les amis, ce week-end, Tony et sa cousine m’ont embarquée dans une course de dingos.
Pas de chrono, ni de vitesse à la clé, heureusement pour moi et mes kilos en trop, mais des obstacles et de la boue.
Il faut dire qu’on avait choisi notre jour, samedi, il faisait 4 degrés et il pleuvait (en fin de journée, il a même grêlé et neigé).
J’avais déjà participé avec des amis à une color run, durant laquelle on recevait des sacs de colorant (bien toxiques, beurk), à la manière de la fête Holi en Inde. J’avais mis presque une semaine à ne plus avoir de pigments roses s’évacuant de mes cheveux pendant le shampoing.
Ici, au moins, c’était drôle. Je n’ai pas franchi tous les obstacles, certains étaient même impraticables avec la boue et la pluie. Tony a fait tous ceux qu’il était possible de faire. Alors, entre tirer un pneu dans la boue, ramper sous un filet, se jeter dans l’étang à l’eau glacée, c’était plutôt bien pensé. Un obstacle où on prend de la boue, le suivant où on se mouille pour se débarbouiller. C’était super drôle et j’ai apprécié pouvoir jeter un oeil à l’intérieur du snow hall, même si la descente sur les fesses dans la neige dès le départ, c’était hardcore.
8 km à se marrer et surtout, pour moi, à découvrir les coins de forêts et de balade à deux pas de la maison.
Et le top, vous savez ce que c’était ? Qu’à notre arrivée, on soit accueilli à la maison avec un bon burger et des frites maison, le tout avec les amis, eh bien, c’était ça le top. Surtout après la bonne douche chaude, on était glacés et pas très en forme le samedi après-midi.