Les monténégrins ont toujours lutté farouchement pour leur petit bout de Balkans, partagé entre la côte adriatiqueet le relief escarpé de l’arrière pays. Même au temps dela suprémation ottomane, ils étaient parvenus à négocier uneforme d’autonomie que les Turcs, pas vraiment désireux de s’engager dans ce guêpier, leuraccordèrent de mauvaise grâce. Un temps yougoslave, le pays à divorcé dans le calme de la Serbie, et jouit désormais d’une indépendance retrovuée. Confiants dans l’avenir, ses fiers habitants ont plaisir à faire ddécouvrir à leurs hôtes ce coin de paradis.
J’ai pu le parcourir avec ma mère et entre les routes escarpées et les mets locaux, ont a bien rigolé.
A faire :
- le voyage jusqu’à Cetinje, l’ancienne capitale, sur une route en lacets à travers la montagne
- la plage de sable de Velika Plazua et l’hsitoire de la ville d’Ulcinj liée à la piraterie
- une visite dans les environs de la Bouche de Kotor entre les eaux bleux intense et les montagnes couleur lavande
- la beauté du massif alpin de Durmitor
- la balde dans les rues de Kotor sans oublier de grimper les 1300 marches menant aux remparts pour jouir de la vue
- Stevi Stefan, un pittoresquevillage de pécheurs est aujourd’hui une station balnéaire très réputée
*article de la bible à l’usage des grands voyageurs Lonely Planet
*photos de l‘office de tourisme de Monténégro